DIRT 5 : la touche créative
Il faut bien l’avouer, la preview que l’on nous a donné était pour le coup assez maigre étant donné que seul ce nouveau mode « Playgrounds » était disponible à l’essai.
Impossible donc de se prononcer sur le véritable cœur du jeu dans sa partie solo ou ses autres nouveautés en multijoueur, ici il n’est question que ce nouveau terrain de jeu de la licence DIRT.
Alors à quoi correspond cette feature que Codemasters veut à tout prix mettre en avant ? À la création d’arènes que l’on peut partager avec toute la communauté du jeu et ce dans trois modes avec le Gymkhana, durant lequel il faut faire un maximum de figures pour engranger le plus de points ; le Smash Attack, pour une petite bataille contre la montre ; ou le Gate Crasher, dont l’objectif est de passer tous les checkpoints peu importe l’ordre. Du classique pour du DIRT.
Néanmoins, les possibilités de création sont suffisamment nombreuses pour faire des arènes complètement alambiquées avec des grilles sur le côté permettant de rouler à la verticale ou bien exécuter des sauts à répétition d’une centaine de mètres. Cela nous rappelle dès les premiers instants TrackMania et ce n’est clairement pas pour nous déplaire tant la conduite arcade du titre de Codemasters sied à merveille à ce type de folie.
Bref, c’est fun, et grâce à la variété des véhicules du jeu, on prend son pied en zigzaguant entre les obstacles, que ce soit dans une petite Ford Fiesta Rally ou bien un gros Touareg des familles. Après il faut se rendre à l’évidence, ce ne sera clairement pas le plat de résistance de ce DIRT 5 et on ne l’achètera clairement pas le titre pour ce simple mode de jeu.